jeudi 12 juillet 2007

Biche ! Ô ma biche !

..Lorsque tu soulignes au crayon noir....tes jolies yeux!
Eh ben non ! Je ne vais pas parler de ces biches là, dont parlait Frank Alamo dans sa chanson ! Moi, je vous parle de vraies biches que nous avons rencontrées lors de notre dernière randonnée du côté des « Marmousets » !
Il faisait frisquet, on s’est ramassé une petite « radache » pas méchante, mais dans l’ensemble ce fut une belle promenade !
Et surtout ….très plate, ce qui me va très bien !
C’est alors que nous fûmes subjugués par l’apparition soudaine de deux créatures fantomatiques et mystérieuses ; nos biches !
Bon ! Jean-Michel va encore faire le difficile en nous parlant de « daguet » de « chevrettes » etc… !
Moi, je n’en démords pas ! Je tiens à mes biches ! Na !
Je n’ose plus dire que c’est rare d’en rencontrer vu que, quelques heures plus tard, nous en avons croisé deux autres ! Et tout ça dans la région parisienne, dans une forêt cernée de toutes parts, de villes de banlieues surpeuplées !
Un miracle, je vous dis !
Par contre, nous n’avons pas aperçu nos « timides » sangliers, mais leurs dégâts, si !
Ah les rustres !
Même dans la nature, on reconnaît la douce séparation qui existe,
entre les « biches-femelles », et les « sangliers-mâles » !
Du même ordre ! Les unes sont la grâce, la volupté discrète, la pudeur inquiète dans la fuite, les autres sont le sans-gêne brutal, la grossièreté dévastatrice et peu discrète !
Je suis sûr que je vais me faire pas mal de copains dans cette histoire !
Mais il faut toujours beaucoup fayoter auprès de ces dames, si on veut avoir la paix !
Entre temps, près du château, nous avons eu le plaisir, la curiosité de visiter un « frigo » du 17ième siècle !
Pas jeune, l’engin ! Mais Darty peut s’allonger pour ce qui est de la fiabilité et de la longévité du matériel !
Nous avons mangé sur des rondins, à côté d’une mine colossale de bois de chauffage !
Jean-Louis n’étant pas là pour le ravitaillement en carburant éthylique du groupe, Eric eut la crainte naïve de ne pas avoir de client pour l’unique bouteille de rosé de la bande ! Il fut largement rassuré !
Il faudra, à l’avenir, assurer la gestion alcoolique de la rando, comme l’OPEP gère son pétrole ! Histoire d’éviter la pénurie ou le surplus !
Bon ! Je vous quitte pour la prochaine rando !

PS. Je mets en ligne l’album photo de la rando